Sans nous attarder sur la question même de la valeur de la Postérité, qui telle une divinité grecque, attribue et retire ses mérites aux créateurs, force est d’admettre que Mozart compte parmi les plus grands génies qu’ait pu connaître l’histoire de la musique.
Néanmoins, nous constatons que si ce dernier est célébré, c’est pour ses opéras, ses symphonies et concertos ou encore ses sonates. Qu’en est-il alors de sa musique dite «sacrée» ? Sans nul doute, elle est de qualité au moins équivalente, sinon pourquoi le Requiem, tel un arbre immense, surpasserait voire écraserait-il toute la production du compositeur ?